Bien que surprenant, le Burusera fait son entrée en France après un succès fou au Japon et en Angleterre, grâce à :
Mais vous allez me dire : Qu'est ce que le Burusera?
Alors remontons un peu le temps
BuruSera (ブルセラ) vient de BURU (éclore) et SERA (sailor, le surnom des uniformes sexy des jeunes lycéennes japonaise).
On peu également parler également de Panchira (パンチラ) : Fétichisme de la petite culotte : Pantsu (パンツ). Dans le cas du Panchira, on parle aussi bien de voir la culotte portée (voyeurisme en dessous des jupes) que de tripoter la pièce de lingerie avec un air niais ou la renifler avec extase…
Le BuruSera (fétichisme des sous vètement) n’est pas endémique au Japon, mais c’est bien là qu’il s’y est développé à ce point.
Le fétichisme des sous-vêtements, regroupe tant les hommes qui cherchent à se vêtir des sous-vêtements féminins, que ceux qui sont attirés par la représentation de l’intimité féminine.
Plusieurs hypothèses sont formulées comme par exemple la recherche de l’interdit (intimité d’une inconnue), la recherche des odeurs corporelles (petites culottes mouillées) et des marques des sécrétions tant vaginales qu’autres (urine, excréments ou règles féminines), ainsi que l’attrait d’un changement de sexe.
La cible principale de ce phénomène de Buru Sera, serait donc à priori des hommes d’un certains âges ayant besoin de satisfaire leur désirs, fantasmes et pulsions sexuels.
Ces petites culottes mouillées, portées et usagées coûtent entre 30 et 90 euros et la demande, est toujours croissante. Autant dire que le BuruSera a encore de beaux jours devant lui, et permet sûrement aux jeunes étudiantes nippones et à d’autres petits malins, de se faire un peu d’argent facile, et tout cela entraîne un commerce prolifique sur Internet, comme le montre la vidéo ci contre.
C’est dès le début des années 90 que trois hommes d’affaires japonais, ont l’idée d’un juteux commerce. Ils construisent et disposent dans Tokyo, 90 machines automatiques, vendant des petites culottes garanties usagées et portées par des jeunes lycéennes japonaises, et ce, pour un tarif d’environ 30€.Les autorités, peu enchantées par ce commerce fructueux, cherchèrent un moyen d’interdire ces machines. C’est via une loi sur la vente d’antiquités qu’ils parviennent à leurs fins : La police affirmant que certaines petites culottes provenaient de magasins d’occasions, et qu’à ce titre était classées “antiquitées”.
Afin de prévenir quelques dérives, en 2004, une loi est passée, interdisant les jeunes filles de moins de 18 ans de vendre leurs sous-vêtements.
Aujourd'hui, ce business arrive en France en autre par le biais d'un nouveau site ouvrant ses portes fin septembre : http://www.shopinette.com/
A vrai dire, le Burusera à la française se veut bien plus sage que le japonnais.
En effet, il suffit de se rendre sur ce site pour constater que le design est loin d'être vulgaire, voir porno, mais au contraire le Burusera à la française se revendique comme une activité ludique, drôle, et bien que certe un peu coquine, permettant la plus totale discrétion des acheteurs comme des vendeurs...
Alors si vous êtes un petit pervers, un sacré farceur, ou peut être juste un curieux coquin, n'hésitez pas à jeter un oeil sur http://www.shopinette.com/ , après tout n'est-ce pas amusant ?
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1 commentaire:
Une grosse partie du texte étant un énorme pompage de notre site internet, ... je vous demanderais de bien vouloir soit :
- le retirer entièrement de votre page
- le tronquer pour n'en garder qu'un minimum, et faire un lien éventuellement vers l'article original :
http://www.taptoula.com/2008/02/14/burusera-fetichisme-des-petites-culottes-japon/
Sans action de votre part, nous nous permettrons d'en référer à l'hébergeur de votre blog afin qu'il prenne les mesures nécessaires.
Amicalement
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